Côté jardin

Le Québec s’est doté d’une réglementation très sévère pour limiter les pesticides en zone résidentielle. Les pesticides sont à la tête du classement des perturbateurs endocriniens : il s’agit de la famille de produits chimiques la plus représentée dans la liste des perturbateurs endocriniens et la plus étudiée.

Comment peut-on avoir un beau jardin sans faire appel à des produits toxiques ? Des organismes se spécialisent dans la sensibilisation et l’éducation sur cette question. Voici quelques références utiles :

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  • L’entretien ménager

    Le nettoyage a un prix. Et il peut être élevé lorsque la santé est en jeu. Tous les produits de nettoyage utilisés s’accumulent dans la maison et sont à l’origine de la pollution de l’air intérieur, qui serait plus vicié que celui de l’extérieur, même en milieu urbain. Qu’il s’agisse de faire disparaître la poussière et les saletés dans la maison ou de nettoyer les mauvaises herbes du jardin, il est possible de limiter les dégâts.

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  • Le mobilier

    Les objets qui meublent la maison paraissent inertes : on ne voit pas leur influence sur notre environnement, sauf sur notre confort et pour leur côté pratique. Pourtant, des vapeurs s’en échappent, des fibres s’en détachent et la peau entre directement en contact avec eux. Ils laissent leur trace dans l’air, la poussière et sur la peau.

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  • Les appareils électroniques

    Devant l’ordinateur, entouré de tous les gadgets avec ou sans fils, on se sent en sécurité dans un environnement contrôlé. Pourtant, le plastique des appareils électroniques, la gaine des fils, les circuits imprimés, les écrans, les téléphones cellulaires… chaque composante de l’univers du numérique contient des substances toxiques.

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  • Quelques conseils

    Peut-on nettoyer la maison et la meubler sans nuire à la santé ? Des pistes d’action sont suggérées pour vous prémunir contre les perturbateurs endocriniens à la maison et dans le jardin.

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© Lise Parent, 2009